Cet article COVID Vaccine: What Else Could They
Put in the Shot? pose la question de la possibilité d'inclure dans un vaccin contre
le coronavirus des nanoparticules. Puis il s'interroge sur l'arrestation d'un
important scientifique américain, LE spécialiste des nanoparticules, le docteur
Charles Lieber, car il "partage" les recherches de pointe en
nanoparticules avec des scientifiques chinois, notamment de Wuhan depuis des
décennies.
Des recherches ont montré
l'intérêt d'utiliser des nanoparticules, c'est à dire des constructions de
molécules, voir d'atomes, parfaitement déterminées, pour exposer des antigènes
dans un but de vaccination. La maîtrise de la géométrie de ces composés
permettrait d'exposer ces sites de manière parfaite. L'article cite deux
publications dans Frontiers in Immunology, datés du 4 octobre 2018
et du 24 janvier 2019.
Une autre utilisation des
nanotechnologies, d'après une publication de 2019 dans Nano Today est
la possibilité de développer des interfaces cerveau ordinateur d'une résolution
bien supérieure à ce qui existait précédemment. Non seulement il serait
possible de capter les signaux électriques au niveau atomique pour capter toute
l'information produite par le cerveau, mais aussi d'influencer le
fonctionnement du cerveau. Il serait même possible de "brancher" de
nombreux cerveaux, en tant qu'objets connectés, à travers un réseau tel
que le 5G.
L'article pose la question de
savoir si une insémination aux nanoparticules pourrait être engagée lors d'une
campagne de vaccination contre le redouté coronavirus, permettant ainsi de
brancher les cerveaux à grande échelle.
Hors, l'entreprise Moderna, qui
n'a encore mis sur le marché aucun produit, mais qui est pourtant chargée de
développer un vaccin à ARN ou ADN, a été fondée avec l'aide d'un leader de la
recherche en nanotechnologies, le professeur Robert Langer.
Sont ensuite évoqués deux
sujets en relation étroite:
1) Les dessous du scandale
Charles Lieber.
Ce chercheur renommé est
poursuivi pour "transfert illégal de technologie vers la Chine" une
formulation plus raffinée et précise que celle "d'espionnage".
Il était, entre autre, le Directeur du Département de Chimie de l'Université d'Harvard. Il était apparemment un des leaders du développement des relations scientifiques entre la Chine et les USA et a signé au moins trois contrats avec l'Université de Technologie de Wuhan. Il a formé des douzaines de chercheurs chinois qui sont maintenant des chefs de laboratoires spécialisés en nanotechnologies dans de prestigieuses universités américaines (entre autre Duke, Georgia Tech, MIT, Stanford, University of California at Berkeley, et UCLA).
Il a été considéré comme un des plus important chimiste au monde. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_M._Lieber
Il était, entre autre, le Directeur du Département de Chimie de l'Université d'Harvard. Il était apparemment un des leaders du développement des relations scientifiques entre la Chine et les USA et a signé au moins trois contrats avec l'Université de Technologie de Wuhan. Il a formé des douzaines de chercheurs chinois qui sont maintenant des chefs de laboratoires spécialisés en nanotechnologies dans de prestigieuses universités américaines (entre autre Duke, Georgia Tech, MIT, Stanford, University of California at Berkeley, et UCLA).
Il a été considéré comme un des plus important chimiste au monde. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_M._Lieber
Son groupe de recherche à
Harvard mentionne sur le web "We are pioneering the interface between
nanoelectronics and the life sciences…sensors for real-time disease
detection…" - Nous sommes pionniers dans l'interface entre les
nanotechnologies et les sciences de la vie... (la création) de capteurs pour la
détection en temps réel des maladies.
Quand on pense à la volonté
actuelle de tout surveiller dans le moindre détail (plus de 600 millions de
caméras déployées en Chine avec reconnaissance faciale etc), partout dans le
monde et particulièrement en Chine, ce transfert de technologie permettant de
mesurer en temps réel, le moindre paramètre biologique de chaque individu
prend tout son sens.
2) Les nanotechnologies: un
seul monde, un seul cerveau.
L'arrestation de Charles Lieber
a attiré les projecteurs sur ces développements en nanotechnologies. Un article
de Nano Today publié en 2019 est intitulé "Nanowire
probes could drive high-resolution brain-machine interfaces" - "Les
Sondes nanofils permettraient de créer des interfaces cerveau-ordinateur de
haute résolution"
En dehors de recherches sur les
prothèses ou la guérison de certaines paralysies, ce type de recherche peut
aussi permettre d'influencer le cerveau par une machine, dans un but de contrôle
(individuel ou des masses). Il serait possible de contrôler les pensées
élémentaires, les sensations et les émotions. Et en association avec l'Internet
des Objets, rien n'interdit d'envisager "d'harmoniser" beaucoup,
énormément, de cerveaux tous ensembles.
Un outil parfait de contrôle
des masses. On comprend mieux l'enquête visant M Lieber actuellement. Un tel
transfert de technologies est inquiétant et on s'étonne qu'il soit possible, alors que les USA avaient rompu les relations diplomatiques avec le Chine
pendant 25 ans jusqu'en 1972.
La réponse évoquée dans cet
article est que, en réalité la Révolution Communiste en Chine faisait
l'admiration de personnes comme David Rockefeller qui affirmait dès 1973 que
"Quel que soit le coût de la Révolution Chinoise, il est évident qu'elle a
réussit à produire une administration non seulement plus efficace et dévouée,
mais aussi une grande moralité et un sens de la communauté. L'expérience
sociale en Chine sous la direction de Mao est une des plus importante et des
plus grands succès dans l'histoire de l'humanité."
Des millions de morts, la
liberté écrasée, toute une population à la botte d'un régime communiste, mais
ce n'est pas cela qu'avait retenu Mr Rockefeller. Lui et ses amis mondialistes
admiraient le gouvernement chinois pour sa capacité à avoir un tel
contrôle de sa population.
Avance rapide >> 47
ans plus tard, les scientifiques de ces deux pays sont Cul et Chemise pour
développer une technologie permettant d'influencer directement le cerveau humain.