mercredi 27 mai 2020

Nanotechnologies, interface cerveau-ordinateur et coronavirus




Cet article COVID Vaccine: What Else Could They Put in the Shot? pose la question de la possibilité d'inclure dans un vaccin contre le coronavirus des nanoparticules. Puis il s'interroge sur l'arrestation d'un important scientifique américain, LE spécialiste des nanoparticules, le docteur Charles Lieber, car il "partage" les recherches de pointe en nanoparticules avec des scientifiques chinois, notamment de Wuhan depuis des décennies. 

Des recherches ont montré l'intérêt d'utiliser des nanoparticules, c'est à dire des constructions de molécules, voir d'atomes, parfaitement déterminées, pour exposer des antigènes dans un but de vaccination. La maîtrise de la géométrie de ces composés permettrait d'exposer ces sites de manière parfaite. L'article cite deux publications dans Frontiers in Immunology, datés du 4 octobre 2018 et du 24 janvier 2019. 

Une autre utilisation des nanotechnologies, d'après une publication de 2019 dans Nano Today est la possibilité de développer des interfaces cerveau ordinateur d'une résolution bien supérieure à ce qui existait précédemment. Non seulement il serait possible de capter les signaux électriques au niveau atomique pour capter toute l'information produite par le cerveau, mais aussi d'influencer le fonctionnement du cerveau. Il serait même possible de "brancher" de nombreux cerveaux, en tant qu'objets connectés, à travers un réseau tel que le 5G.  

L'article pose la question de savoir si une insémination aux nanoparticules pourrait être engagée lors d'une campagne de vaccination contre le redouté coronavirus, permettant ainsi de brancher les cerveaux à grande échelle. 

Hors, l'entreprise Moderna, qui n'a encore mis sur le marché aucun produit, mais qui est pourtant chargée de développer un vaccin à ARN ou ADN, a été fondée avec l'aide d'un leader de la recherche en nanotechnologies, le professeur  Robert Langer.

Sont ensuite évoqués deux sujets en relation étroite: 


1) Les dessous du scandale Charles Lieber.

Ce chercheur renommé est poursuivi pour "transfert illégal de technologie vers la Chine" une formulation plus raffinée et précise que celle "d'espionnage". 

Il était, entre autre, le Directeur du Département de Chimie de l'Université d'Harvard. Il était apparemment un des leaders du développement des relations scientifiques entre la Chine et les USA et a signé au moins trois contrats avec l'Université de Technologie de Wuhan. Il a formé des douzaines de chercheurs chinois qui sont maintenant des chefs de laboratoires spécialisés en nanotechnologies dans de prestigieuses universités américaines (entre autre  Duke, Georgia Tech, MIT, Stanford, University of California at Berkeley, et UCLA). 

Il a été considéré comme un des plus important chimiste au monde. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_M._Lieber 

Son groupe de recherche à Harvard mentionne sur le web "We are pioneering the interface between nanoelectronics and the life sciences…sensors for real-time disease detection…" - Nous sommes pionniers dans l'interface entre les nanotechnologies et les sciences de la vie... (la création) de capteurs pour la détection en temps réel des maladies.

Quand on pense à la volonté actuelle de tout surveiller dans le moindre détail (plus de 600 millions de caméras déployées en Chine avec reconnaissance faciale etc), partout dans le monde et particulièrement en Chine, ce transfert de technologie permettant de mesurer en temps réel, le moindre paramètre biologique de chaque individu prend tout son sens.


2) Les nanotechnologies: un seul monde, un seul cerveau.

L'arrestation de Charles Lieber a attiré les projecteurs sur ces développements en nanotechnologies. Un article de Nano Today publié en 2019 est intitulé "Nanowire probes could drive high-resolution brain-machine interfaces" - "Les Sondes nanofils permettraient de créer des interfaces cerveau-ordinateur de haute résolution

En dehors de recherches sur les prothèses ou la guérison de certaines paralysies, ce type de recherche peut aussi permettre d'influencer le cerveau par une machine, dans un but de contrôle (individuel ou des masses). Il serait possible de contrôler les pensées élémentaires, les sensations et les émotions. Et en association avec l'Internet des Objets, rien n'interdit d'envisager "d'harmoniser" beaucoup, énormément, de cerveaux tous ensembles.

Un outil parfait de contrôle des masses. On comprend mieux l'enquête visant M Lieber actuellement. Un tel transfert de technologies est inquiétant et on s'étonne qu'il soit possible, alors que les USA avaient rompu les relations diplomatiques avec le Chine pendant 25 ans jusqu'en 1972. 

La réponse évoquée dans cet article est que, en réalité la Révolution Communiste en Chine faisait l'admiration de personnes comme David Rockefeller qui affirmait dès 1973 que "Quel que soit le coût de la Révolution Chinoise, il est évident qu'elle a réussit à produire une administration non seulement plus efficace et dévouée, mais aussi une grande moralité et un sens de la communauté. L'expérience sociale en Chine sous la direction de Mao est une des plus importante et des plus grands succès dans l'histoire de l'humanité." 

Des millions de morts, la liberté écrasée, toute une population à la botte d'un régime communiste, mais ce n'est pas cela qu'avait retenu Mr Rockefeller. Lui et ses amis mondialistes admiraient le gouvernement chinois pour sa capacité à avoir un tel contrôle de sa population. 


Avance rapide >> 47 ans plus tard, les scientifiques de ces deux pays sont Cul et Chemise pour développer une technologie permettant d'influencer directement le cerveau humain.