jeudi 15 novembre 2012

Plus de 300 personnes entendraient des voix dans la région de Palm Springs en Californie


D'après cet article Electronic Harassment: Voices in My Mind publié sur le site d'un canal TV californien, des centaines de personnes, principalement des femmes blanches entre 30 et 40 ans et des homosexuels, se plaignent d'entendre des voix projetées dans leur tête, par la technologie dite voice-to-skull. La plupart vivent dans un certain isolement social et sont en situation de fragilité.

Plusieurs personnes, qui menaient une vie tranquille auparavant, rapportent avoir commencé à entendre des voix lorsqu'ils ont été suivi par un gang. Depuis ces membres de gangs commentent leur pensées.

Il est assez rare que de telles informations soient diffusées dans la presse mais l'étendu du phénomène dans cette région de Palm Springs donne une force incontestable à ces témoignages.  

lundi 12 novembre 2012

Des jumelles avec lecteur de pensées

 L'Agence des Projets Avancés (DARPA) de la défense des USA est en relation avec la compagnie Northrop Grumman concernant un projet de jumelles optimisées par la pensée.

Ce jumelles seraient reliées à un système de surveillance de l'activité du cerveau par électroencéphalogramme utilisant des électrodes placées dans un casque, en surface du crâne. Le but est de détecter des signaux d'alerte visuelle avant qu'ils soient traités au niveau conscient. Le système devrait s'optimiser de lui-même au fur et à mesure que l'utilisateur le portera et percevra de manière inconsciente des signaux potentiellement dangereux.


Une des grandes questions soulevées par ce système est de savoir comment vont réagir les soldats qui seront stimulés par des signaux ayant court-circuité leurs mécanismes naturels d'inhibition?

vendredi 24 août 2012

Des chercheurs piratent la pensée


Utilisant un casque "télépathique" vendu quelques centaines de dollars dans le commerce, les chercheurs ont démontré qu'il est possible de lire des informations confidentielles dans le cerveau de l'utilisateur, sans même qu'il ne s'en rende compte.



Des chercheurs des Universités d'Oxford, Genève et Berkeley ont réalisé leur expérience sur un groupe d'étudiants en informatique. Les étudiants savaient que l'expérience portait sur une question de sécurité, mais n'étaient pas informé qu'ils allaient être "piratés". Portant un casque fabriqué par la firme Emotiv, servant d'interface cerveau-ordinateur, ont leur a montré des séries d'images telles que des plans, des photos de banques, des codes de carte bancaire ect…

En décodant les ondes cérébrales "P300", les chercheurs se sont rendu compte que certaines informations telles que le lieu du domicile de l'individu testé, ou des informations bancaires, peuvent "fuir" sans que l'individu ne s'en rende compte.

Connaissant l'utilisation qui est actuellement faite des informations collectées, officiellement (facebook) ou par piratage, à grande échelle dans les réseaux informatiques, il est à craindre que ce type d'équipement, initialement prévu pour le jeu, peut servir à collecter des informations confidentielles.

L'équipe de chercheurs mentionne dans son compte-rendu que "la simplicité de notre expérience, suggère la possibilité d'attaques plus sophistiquées". Par exemple un utilisateur non averti pourrait participer à un jeu dirigé par la pensée, qui sert en fait de couverture à un système d'interrogatoire et rend l'individu coopératif. De plus, la qualité des équipements (les casques télépathiques) augmentant, le taux de succès des piratages devrait certainement augmenter."

Ils mentionnent un autre problème. Lors de leur utilisation normale, ces interfaces cerveau-ordinateur stockent les informations captées depuis notre cerveau. Ce flux de données pourrait être intentionnellement exploité par des logiciels malveillants. En conséquence, "le développement de nouveaux types de piratage serait assez facile et seulement limité par la créativité du pirate."



vendredi 10 août 2012

L'immortalité de l'esprit dès 2045?

L'homme d'affaire russe spécialisé dans les médias, Dmitry Itskov dirige un projet d'immortalité de l'esprit humain d'ici 30 ans.

Son but est de permettre un transfert de l'esprit d'un humain sur un support de plus en plus dé-matérialisé, en suivant plusieurs étapes:

2015-2020: contrôler totalement un robot humanoïde grâce à une interface cerveau-ordinateur. Ce robot serait alors entièrement piloté par les ondes-cérébrales du manipulateur.

2020-2025: Un cerveau humain serait transplanté sur un autre corps. Des recherches de ce type ont été réalisées dans les années 1970 lorsque le Dcr Robert J. White a réalisé des transplantations de la tête entière de singes.   

2030-2035:  Un avatar composé d'un corps et un cerveau synthétiques dans lequel serait téléchargé la conscience d'une personne.

2040-2045: Une fois maîtrisé le transfert de la conscience sur un support matériel et synthétique, le but serait de transférer la conscience d'un humain sur des supports de plus en plus dispersés et immatériels. Un corps holographique pourrait par exemple traverser les murs ou voyager à la vitesse de la lumière. Un corps composé de nano-robots pourrait changer de forme à volonté etc…



Itskov dit avoir investi de grosses sommes dans le but d'engager les 30 scientifiques nécessaires et ouvrir ses bureaux à San Francisco cet été. Il cherche à créer un réseau de soutient. Il s'est adressé aux milliardaires de la liste Forbes et cherche un soutient gouvernemental. Curieusement, il a reçu le soutient du Dalai Lama.

"Avatar" project aims for human immortality by 2045

samedi 14 juillet 2012

Les scientifiques peuvent maintenant lire, enregistrer et renvoyer des informations au cerveau.


Une équipe de l'Université de Tel Aviv (Pr Mintz) a développé un cervelet artificiel qui peut recevoir des influx nerveux du cerveau, les analyser et renvoyer des influx au cerveau. Cet appareil fonctionne sur un rat et il a permit de restaurer des fonctions perdues suite à la destruction de parties de cerveau. Cette expérience prouve que la communication cerveau-machine peut fonctionner dans les deux sens.

Le Professeur Mintz mentionne que "cela démontre la possibilité d'enregistrer des informations du cerveau, de les traiter d'une manière similaire à celle du cerveau et de les renvoyer au cerveau."

Cet dispositif expérimental créé un mécanisme de clignement reflex des yeux. Lorsque le rat entend un bip sonore le module ordonne le clignement des yeux...

vendredi 22 juin 2012

Une pétition européenne pour demander une législation concernant les technologies de contrôle de l'esprit.

En avril 2012 le Parlement Européen a enregistré la pétition suivante sous le numéro 0392/2012 :

"Below is the information proving that you are probably not informed about the existence of mind control technologies in NATO countries. I hope you will realize that there is no law in the European Union countries prohibiting individuals, organizations and governments from the use of such technologies. The absence of such a law is rather proving the continuing experimentation with those technologies by the governents of the European Union countries on unwitting citizens. For sure enactment of such a law would also mean that the law should contain  provisions establishing the teams which would be equiped with a technology capable to verify the complaints of victims of such experiments through detection of the existence of „psychoactive“  physical fields penetrating into their brains."
 

En français

"Veuillez trouver ci-joint des informations prouvant que vous n'avez probablement pas connaissance de l'existence de technologies de contrôle de l'esprit dans les pays de l'OTAN. J'espère que vous réaliserez qu'il n'existe pas de lois en Union Européenne pour interdire aux individus, organisations et gouvernements l'utilisation de telles technologies. L'absence d'une telle législation tend à prouver que les gouvernements des pays européens continuent de mener des expériences sur des citoyens non consentants. Bien entendu le vote d'une telle loi nécessiterai de prévoir des moyens pour créer des équipes possédant les technologies de détection permettant de vérifier l'existence des champs "psychoactifs" qui pénètrent les cerveaux des victimes présumées."


Pétition européenne N°0392/2012



Pour soutenir cette pétition:
Parlement européen
Commission des pétitions
Secrétariat
Rue Wiertz
B-1047 BRUXELLES

lundi 21 mai 2012

Répartir la pensée entre un humain et un ordinateur


Dans une expérience utilisant la technologie "Brainput", des chercheurs du MIT surveillent la quantité d'activité cérébrale. Brainput est un système de mesure utilisant l'imagerie par spectroscopie proche infra-rouge (fNIRS).

Un manipulateur équipé d'un casque servant d'interface cerveau-ordinateur, doit contrôler la trajectoire de deux robots en même temps. Si l'activité cérébrale de ce manipulateur est "en surchauffe", une partie des tâches de pilotage des robots est confiée à un ordinateur. Le but est d'arriver à un pilotage de qualité quelque soit le niveau de concentration du manipulateur. Les chercheurs du MIT cherchent ainsi à optimiser la "collaboration" entre un humain et un ordinateur.


vendredi 18 mai 2012

Entendre des voix n'est plus un signe de folie

La dernière publication aux USA du Manuel de Diagnostique des Maladies Mentales ne considère plus le fait d'entendre des voix comme un élément important du diagnostique de psychose.

"Affari: la psychiatrie a toujours stigmatisé ce phénomène en le considérant comme un signe de psychose. Mais à partir de cette nouvelle publication cela ne sera plus le cas. Les hallucinations auditives, le fait d'entendre des "voix", sont trouvées dans une proportion allant de 8 à 15% de la population normale"


 http://www.dsm5.org/Pages/Default.aspx

mardi 27 mars 2012

Neuroscience, éthique et secret défense

D'après Michael N. Tennison, Jonathan D. Moreno, Neuroscience, Ethics, and National Security: The State of the Art, PLoS Biology, 2012; [DOI:10.1371/journal.pbio.1001289]


Selon des recherches menées par la Wake Forest University et l'Université de Pennsylvanie, les armées et services secrets utilisent aujourd'hui un ensemble de technologies de neurosciences dont l'utilisation soulève de nombreux problèmes éthiques.
...
Par exemple les interfaces cerveau-ordinateur qui ont déjà été utilisées dans des expériences de pilotage de robot par des singes, peuvent permettre de contrôler des armements à distance, sans présence sur le champ de bataille.

D'autre part les chercheurs suggèrent que les technologies permettant d'influencer le système nerveux, telle la stimulation magnétique trans-crânienne, peuvent permettre d'augmenter ou diminuer la performance des soldats sur le terrain.

Les technologies de "lecture de pensée", pourraient être plus performantes que les technologies traditionnelles de détecteur de mensonge, et ceci lève des questions concernant la protection de la vie privée ainsi que la fiabilité de ce type de technologies.

mercredi 1 février 2012

Jouer sur un ordinateur grâce à la pensée

La compagnie Freelogic propose un détecteur d'ondes cérébrales sans casque, qui permet de jouer sur un ordinateur afin d'augmenter les performances mentales.

Grâce au capteur placé sur le corps, cette technologie permet une plus grande liberté de mouvements, c'est pourquoi elle équipe dors et déjà 600 districts scolaires aux USA et l'armée américaine.

Associé au logiciel "Play Attention", ce système permet de contrôler la concentration mentale. Il existe plusieurs modes de jeux. Un des plus complexes consiste à manipuler mentalement les commandes d'une centrale nucléaire.

Comparé aux systèmes avec casques, dont le prix à chuté sous les 100 dollars, cette technologie révolutionnaire est vendue au prix de 1795 dollars... mais ceci inclut plusieurs heures de consultation téléphonique avec des spécialistes de la cognition, afin d'améliorer les performances mentales.